Ils parlent de nous

octobre 2025
Première Loge
A propos du disque « Leçons de Ténèbres »
«[…] Les deux Repons de Charpentier s’intègrent au cœur des trois Leçons de Ténèbres de Couperin, faisant alors une place au chœur. […] La première est confiée à Paco Garcia, voix de ténor quasi séraphique ; la seconde à Étienne Bazola dont le timbre de baryton est un baume. […] Ainsi, ne cessant de mettre en valeur la voix, le texte, Louis-Noël Bestion de Camboulas mène ses musiciens de L’Ensemble Les Surprises vers des clairs-obscurs savants, bouleversants, d’une profondeur insondable. »
septembre 2025
Sud Ouest
A propos de « Bach en famille »
« Pour le festival Les Riches heures de La Réole, l’ensemble […] a présenté un programme mixant des œuvres de Jean-Sébastien Bach, de ses enfants et de ses professeurs. […] Le pari peut surprendre, voire choquer, mais il ne heurte pas l’oreille. Les pièces s’enchaînent avec fluidité en étant écrites dans les mêmes tonalités et avec la même signature rythmique. C’est une nouvelle occasion de mesurer le swing de Jean-Sébastien Bach, cet art du rebond ternaire qui fait de lui un lointain ancêtre du jazz. »
juillet 2025
Baroque News
A propos de « Bach en famille »
« Un jeu particulièrement subtil et virtuose de la part du talentueux claveciniste Louis-Noël Bestion de Camboulas. Un jeu passionnant de va-et-vient et d’entremêlement entre l’orchestre et le clavecin qui s’achève par des cadences au clavecin en partie improvisées de haut vol. Un orchestre qui s’écoute et qui prend plaisir à faire de la musique ensemble tout en la restituant brillamment. […] Un moment de grâce repris en bis pour le plus grand bonheur d’un public conquis. »
ConcertoNews
A propos de « Bach en famille »
« La partie soliste redoutable bénéficie du clavecin félin et véloce de Louis‑Noël Bestion de Camboulas […] Le concert prend une autre dimension avec l’entrée en piste de Marc Mauillon, qui semble comme un poisson dans l’eau dans ce répertoire. L’aisance du chanteur français impressionne autant par l’étendue de sa tessiture (du baryton au ténor) que par la fluidité de ses phrasés, d’une souplesse de transition aux infinies nuances. […] La conclusion noble et apaisée du choral « Was Gott tut, das ist wohlgetan » nous rappelle que Bach père est bien le maître incontesté de la cantate sacrée, que l’on ne se lasse pas d’admirer. »
juin 2025
Le Devoir
A propos du disque « Leçons de Ténèbres »
« « Intense » est le mot qui s’impose à l’écoute de ce disque de l’ensemble Les Surprises et Louis-Noël Bestion de Camboulas […] Par rapport à d’autres très belles versions, la singularité est ici de n’avoir que des voix d’hommes (sept chanteurs, avec le ténor Paco Garcia et le baryton Étienne Bazola en solistes), et ça change la perspective du tout au tout. À quoi bon la lumière d’une soprano si nous sommes dans les ténèbres ? […] Une fois qu’on y a goûté, ça vire tellement à la transe mystique qu’on ne peut l’imaginer autrement. »
Muse Baroque
A propos du disque « Leçons de Ténèbres »
« […] Etienne Bazola se coule comme un poisson dans l’onde ténébreuse : voilà une deuxième Leçon d’une infinie tendresse, à la ferveur nuancée et subtile (“Recordata est” à faire pleurer les pierres), à la déclamation vive mais hiératique. Du très grand Art. […] L’on saluera enfin le Miserere de Delalande, d’après la version manuscrite de De Brossard avec un trio haute-contre, taille et basse extraordinaire de vibration. »