Baroque News
A propos de « Bach en famille »
« Un jeu particulièrement subtil et virtuose de la part du talentueux claveciniste Louis-Noël Bestion de Camboulas. Un jeu passionnant de va-et-vient et d’entremêlement entre l’orchestre et le clavecin qui s’achève par des cadences au clavecin en partie improvisées de haut vol. Un orchestre qui s’écoute et qui prend plaisir à faire de la musique ensemble tout en la restituant brillamment. […] Un moment de grâce repris en bis pour le plus grand bonheur d’un public conquis. »
ConcertoNews
A propos de « Bach en famille »
« La partie soliste redoutable bénéficie du clavecin félin et véloce de Louis‑Noël Bestion de Camboulas […] Le concert prend une autre dimension avec l’entrée en piste de Marc Mauillon, qui semble comme un poisson dans l’eau dans ce répertoire. L’aisance du chanteur français impressionne autant par l’étendue de sa tessiture (du baryton au ténor) que par la fluidité de ses phrasés, d’une souplesse de transition aux infinies nuances. […] La conclusion noble et apaisée du choral « Was Gott tut, das ist wohlgetan » nous rappelle que Bach père est bien le maître incontesté de la cantate sacrée, que l’on ne se lasse pas d’admirer. »
Le Devoir
A propos du disque « Leçons de Ténèbres »
« « Intense » est le mot qui s’impose à l’écoute de ce disque de l’ensemble Les Surprises et Louis-Noël Bestion de Camboulas […] Par rapport à d’autres très belles versions, la singularité est ici de n’avoir que des voix d’hommes (sept chanteurs, avec le ténor Paco Garcia et le baryton Étienne Bazola en solistes), et ça change la perspective du tout au tout. À quoi bon la lumière d’une soprano si nous sommes dans les ténèbres ? […] Une fois qu’on y a goûté, ça vire tellement à la transe mystique qu’on ne peut l’imaginer autrement. »
Muse Baroque
A propos du disque « Leçons de Ténèbres »
« […] Etienne Bazola se coule comme un poisson dans l’onde ténébreuse : voilà une deuxième Leçon d’une infinie tendresse, à la ferveur nuancée et subtile (“Recordata est” à faire pleurer les pierres), à la déclamation vive mais hiératique. Du très grand Art. […] L’on saluera enfin le Miserere de Delalande, d’après la version manuscrite de De Brossard avec un trio haute-contre, taille et basse extraordinaire de vibration. »
Concerts itinérants – Marie-Amélie Clément
DU 19 AU 23 MAI 2025
Région Nouvelle-Aquitaine